Weloge, adhérent de la French Proptech a le plaisir de participer au French Proptech Tour mardi 24 janvier à Marseille à La Coque en partenariat avec Euroméditerranée, avec pour thématique la ville méditerranéenne de demain.
Au programme 2 tables rondes dédiées à la conception de la ville méditerranéenne de demain, un workshop sur la mobilité et la logistique urbaine et un démonstrateur présentant les mutations de l’immobilier et les solutions concrètes que les startups françaises développent pour y répondre. Ce démonstrateur s’adresse à tous les professionnels de l’immobilier sous forme de parcours et de cas clients scénarisés.
Vous pouvez voir le programme et vous inscrire ici
2023, nouvelle avancée dans la loi climat résilience
Comme il a été annoncé, depuis le 1er janvier 2023 une partie des logements classés G en consommation énergétique sont interdits à la location à savoir ceux dont la consommation énergétique est supérieure à 450kWh par m2 par an. Cela est effectif aux logements dont le bail est signé à partir du 1er janvier 2023. Les logements F et G connaissent un gel des loyers depuis le 24 août 2022. La loi climat et résilience se met en place, et va commencer à avoir un impact sur la marché immobilier.
Que faut-il faire ?
Comme dit précédemment, une partie des logements classés G sont désormais interdits à la location, il s’agit des logements consommant plus de 450 kilowattheures par mètre carré par an. Ce sont les logements G+, représentant 4% des passoires thermiques.
Pour qu’un bailleur puisse remettre son bien en location, il faudra très certainement effectuer des travaux afin d’améliorer le classement énergétique du bien. En effet, comme nous l’avions expliqué au mois de novembre, les déperditions de chaleur sont dues à la toiture, aux murs, à la ventilation ou encore aux fenêtres. Des aides ont été mises en place afin de faciliter la réalisation de ces travaux.
Pour connaître les aides auxquelles vous êtes éligibles : France Rénov’
Votre consultant Weloge peut vous accompagner en vous orientant vers un partenaire pour la rénovation.
Le diagnostic de performance énergétique (DPE) doit être réalisé par un diagnostiqueur. Il s’agit d’un professionnel indépendant certifié et ayant souscrit à une assurance professionnelle. Le DPE est à l’initiative et à la charge du propriétaire.
Si vous souhaitez en apprendre davantage sur les passoires thermiques, nous vous invitons à consulter notre newsletter de novembre disponible sur notre blog.
News du réseau :
After Work Weloge et ses partenaires dans les Landes le 12/01 : pour plus d’informations, contacter Teddy Jego au
Vous avez fait le choix d’investir dans un bien pour le mettre en location. Maintenant que vous avez pris cette importante décision, il vous reste à faire un choix difficile pour vous, propriétaire bailleur.
La location vide
La location vide détient bon nombre d’avantages et semble être la plus simple à première vue, il ne faut pas négliger la location meublée qui a elle aussi son lot d’avantages.
La location vide est souvent vue comme la solution la plus simple pour les propriétaires bailleurs qui ne s’y connaissent pas en gestion locative. En effet vous n’avez pas besoin d’investir dans l’ameublement, l’électroménager, la décoration et pouvez donc commencer directement à mettre votre bien en location. Vous n’avez qu’à effectuer les états des lieux pour vous assurer que vous pouvez rendre la caution à votre locataire, le bail est pour une durée de 3 ans (ou 6 ans si on est une SCI non familiale) ce qui semble rassurant, il y a moins de frais d’entretien.
La location meublée
Le loyer d’un logement meublé peut être jusqu’à 5% à 30% supérieur à celui d’un logement nu. Il demande en revanche d’avancer les frais du mobilier, et de remplacer ceux-ci en cours de bail. Le bail est d’une durée de un an renouvelable, le dépôt de garantie de 2 mois, et la rotation des locataires peut être plus importante (donc risque de vacance locative). La fiscalité est aussi complètement différente.
La fiscalité pour la location vide et meublée
La fiscalité d’un appartement vide relève des revenus fonciers, quand pour le meublé elle relève des BIC (bénéfices industriels et commerciaux), autrement dit:
location vide: revenus fonciers, régime forfaitaire (micro foncier) abattement de 30% sur ces revenus locatifs, au régime réel on peut déduire les charges et le bénéfice dégagé est imposable (source BOFIP)
location meublée: LMNP (loueur meublé non professionnel), idem qu’en vide il y a deux possibilités (régime forfaitaire ou réel – le réel permettant d’amortir le bien) source BOFIP
Avant de s’engager tête baissée dans l’une et l’autre des solutions il faut bien connaître le marché cibles et prendre conseil avec un fiscaliste ou un expert comptable afin de faire des simulations.
Si vous avez des questions où vous êtes réticent à vous lancer dans la gestion locative, vous pouvez contacter votre consultant immobilier Weloge qui vous vous propose un service complet et une prise en charge à 360° de la gestion locative.
Le syndic coopératif est une forme de gestion de copropriété intéressante pour les copropriétaires déçus des services rendus par les syndics professionnels classiques. Au-delà des prix exorbitants, ils peuvent parfois manquer de réactivité en cas de sinistres. Zoom sur la définition et les avantages que présente le syndic coopératif.
Qu’est qu’un syndic coopératif ?
Comme stipulé dans laloi 65-557 du 10 juillet 1965, un immeuble est dans l’obligation d’élire un syndic de copropriété pour assurer sa gestion administrative et financière. Il n’est donc pas légal de faire partie d’une copropriété sans syndic
Il existe différents modèles de gestion d’une copropriété :
Syndic professionnel : une société tierce qui gère l’immeuble en échange d’honoraires.
Syndic non-professionnel : coopératif ou bénévole.
Le syndic coopératif est un ensemble de copropriétaires élus en qualité de syndic de copropriété. Le président du comité syndical est épaulé dans ses missions par les autres membres du conseil syndical.L’administration de l’immeuble est gérée en interne et permet ainsi une gestion plus rapide en cas de sinistres ou de différends au sein de la copropriété. Par ailleurs, contrairement au syndic professionnel, un syndic coopératif ne perçoit pas de rémunération.
Bon à savoir :
Le président-syndic est élu parmi le conseil syndical. Il a pour mission principale la gestion administrative et financière de l’immeuble. Il porte une double casquette : président du conseil syndical et syndic. Toutefois, en syndic coopératif, il n’est pas le seul à endosser la responsabilité de la copropriété. Il est épaulé par tous les autres membres du conseil syndical qui sont également impliqués dans la gestion de l’immeuble et prennent chacun une tâche selon leurs affinités et domaines de prédilection.
Différences entre syndic coopératif et les autres modes de gestion
Différences entre syndic coopératif et bénévole
Dans le cas du syndic coopératif, le conseil syndical est obligatoire. Il est constitué de plusieurs copropriétaires, qui désignent un président, adossant le rôle de syndic. À noter que c’est la responsabilité de tous les membres du conseil syndical d’assurer la gestion de l’immeuble.
Le syndic bénévole, quant à lui, est une autre forme de syndic non-professionnel. Contrairement au fonctionnement du syndic coopératif, le syndic bénévole et le conseil syndical sont deux instances de copropriété singulières. Autrement dit, le conseil syndical n’est pas le syndic, mais a simplement un rôle consultatif, où il assiste le syndic dans ses missions et contrôle de gestion, sans avoir un pouvoir décisionnaire.
Différences entre syndic coopératif et syndic en ligne
Le syndic en ligne est un nouveau mode de fonctionnement qui a vu le jour grâce à l’avènement d’internet et du développement des nouvelles technologies.
Il existe deux types de syndics en ligne :
les syndics professionnels entièrement en ligne : absence de bureaux ou d’agences physiques. L’ensemble des échanges se fait également virtuellement en visioconférence ou par mail.
des outils de gestion en ligne pour faciliter la gestion de copropriété aux syndics bénévoles ou coopératifs (exemple : solution Matera).
Avantages d’un syndic coopératif
Opter pour un syndic coopératif présente de nombreux avantages :
Un avantage financier : syndic coopératif rime avec absence d’honoraires à verser au syndic professionnel. En outre, syndic coopératif n’est pas rémunéré pour ses missions. Le montant épargné pourra ainsi être réinvesti dans l’avancement des travaux et l’entretien de la copropriété.
Traitement rapide en interne des questions administratives : faire appel à un syndic coopératif permet de supprimer les intermédiaires et de profiter d’une gestion efficace de la copropriété. La gestion des sinistres et l’entretien de l’immeuble n’aura jamais été aussi rapide.
Maintien de la convivialité au sein de la copropriété : le syndic coopératif est constitué de copropriétaires investis et impliqués dans la vie de l’immeuble. Il est donc plus naturel de sympathiser avec ses voisins et de veiller au bon fonctionnement de la copropriété.
Réactivité assurée lors de la prise de décision et en cas d’urgence. Le fait de ne plus avoir d’intermédiaire permet de prendre des décisions rapidement. La communication est beaucoup plus fluide et la prise de décision est accélérée.
Prise de contrôle de la copropriété : les syndics professionnels manquent parfois de transparence. Les copropriétaires n’ont parfois aucune visibilité sur les actions réellement réalisées par le syndic. Malgré un prix très élevé, les problèmes tardent parfois à être résolus. Et pour cause, les gestionnaires de copropriété gèrent plus d’une quarantaine de copropriétés en même temps. À contrario, avec le syndic coopératif, il n’y a pas d’intermédiaire. Les copropriétaires sont maîtres de leur copropriété et peuvent ainsi avancer sur des sujets qui leur tiennent à cœur.
Une plus grande transparence : les membres du conseil syndical sont à l’écoute des besoins de l’ensemble des copropriétaires et leur donnent généralement la possibilité de discuter et partager leurs ressentis. Le but premier du syndic coopératif est de répondre à leurs besoins et agir dans l’intérêt de l’immeuble.
Grâce à la plateforme simple et intuitive de Matera, reprenez le contrôle sur votre copropriété. Il s’agit du meilleur moyen de réduire considérablement vos charges et d’améliorer la qualité de vie au sein de votre immeuble.
« Atteindre 200 mandataires d’ici 2024 » Dominique de Saint Laurent est interviewée par Immo matin.
La fondatrice et codirigeante du réseau de mandataires Weloge, structure qui déploie ses activités essentiellement dans les zones urbaines, table sur un doublement de ses effectifs d’agents commerciaux à horizon 2024. Gros plan sur l’actualité d’un réseau qui se lance, notamment, dans le MLM, avec ses « Team Leaders ».
Sur quels secteurs géographiques s’opère le développement du réseau Weloge ?
Nous concentrons nos efforts, pour l’heure, sur les agglomérations de Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux et Nantes. Et de façon plus large, nous privilégions le recrutement de mandataires susceptibles de développer leur business dans les zones urbaines.
Nous nous adressons principalement à des vendeurs et acquéreurs pressés. Et surtout, qui veulent que l’on s’occupe de tout ! Si bien que nous sommes installés sur un positionnement premuim + +.
Quels profils de mandataires recrutez-vous ? Nécessairement des agents expérimentés ?
Non, pas obligatoirement. Même si nous comptons, c’est vrai, de nombreux professionnels expérimentés. Pour rejoindre le réseau Weloge, il convient, avant tout, de faire preuve d’un bon sens du relationnel et de faire grand cas du savoir-être. Il faut aussi avoir envie d’apprendre, d’évoluer et avoir un esprit ouvert.
Et preuve que notre stratégie se révèle payante : le turn-over, chez Weloge, n’est que de 22 %. A ce jour, nous nous appuyons sur un effectif de 80 mandataires. Et notre ambition est d’atteindre les 200 d’ici l’année 2024.
Quelles prestations et outils leur mettez-vous à disposition ?
Notre pack, à 141 euros mensuel TTC, leur offre tous les outils nécessaires à leur développement (diffusion sur les portails, outils de prises de vues, signature électronique…). Le tout, en s’appuyant sur un réseau dont la particularité est d’avoir une vision de l’immobilier à 360°.
Chez Weloge, l’agent est un chef d’orchestre qui est accompagné, grâce à nos partenariats, par tous les métiers qui gravitent dans l’écosystème de l’immobilier : courtiers, architectes, artisans du bâtiment, assureurs, comptables, déménageurs… Notre leitmotiv est de leur mettre à disposition toutes les solutions pour qu’ils puissent accompagner le mieux possible leurs clients.
Quelle rémunération leur offrez-vous ?
Nous leur reversons entre 70 % et 90 % des commissions. En sachant que la commission moyenne perçue par un mandataire chez Weloge atteint 14 000 euros. Quant au chiffre d’affaires annuel visé pour chaque agent, il se monte à 100 000 euros.
Quelles actualités marquantes ont rythmé la vie de votre réseau ces dernières semaines ?
En plus de nous être lancé, cette année, sur le segment de la gestion locative, nous avons inauguré, en septembre dernier, notre concept de « Team Leaders ».
S’appuyant sur le modèle du MLM (marketing de réseaux) jusqu’au troisième niveau, celui-ci s’articule autour d’un agent aguerri et bien formé qui anime une équipe de mandataires sur un secteur géographique déterminé.
Tout en continuant à exercer son métier d’agent immobilier, ce « Team Leader » dispense à ses équipes des formations au travers de sessions en présentiel, d’ateliers et d’animations. Weloge s’appuie, à ce jour, sur six « Team Leaders » Et notre objectif est d’en compter 10 à horizon 2024.